
« Elle s’appelle Eve, elle a 35 ans et est couturière. Dans son très bel atelier, nombre de personnes viennent coudre et discuter. Eve réalise son rêve à mesure que ses élèves réalisent leurs ourlets. Son atelier c’est son château, là où on vient créer. Début mars 2020 : lockdown ! Plus de cours, plus de revenus. Eve, comme plus d’un million d’indépendants belges, a la boule au ventre. Cette histoire vous la connaissez, inutile de vous la raconter. Laissez-moi vous en conter une autre, celle des masques ».
La suite de l’article d’Eugénie Nothomb, paru dans Le Soir le 5 mai dernier ici.