L’Université de Gand appelle la population à témoigner sur la violence domestique

Ce lundi, la DH nous a rapporté que l’Université de Gand a lancé une étude nationale intitulée « Relations, stress et agressions en période de Covid-19 en Belgique ».

Le stress et les sentiments d’impuissance sont souvent à l’origine de violence domestique et le confinement dû à la crise du coronavirus renforce ces émotions, indique lundi le professeur Ines Keygnaert au nom de l’UGent. « Dans les pays où le confinement est obligatoire, des augmentations significatives de la violence au sein des familles et entre partenaires ont également été signalées. En Chine, la violence intrafamiliale pendant le confinement était trois fois plus fréquente qu’auparavant. En France, les violences physiques et sexuelles ont augmenté de plus de 35%. Pour la Belgique, les chiffres officiels font encore défaut, mais les experts s’attendent à une tendance similaire », explique l’université.

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